Comment des utilisatrices imaginent notre UX

Une réunion de focus group  a dégénéré en co-construction de l’UX rêvée pour lily facilite la vie

L’UX nous savons que c’est un sujet, mais il a fallu un focus groupe très animé pour comprendre de façon plus viscérale comment le j’aime/j’aime pas d’une UX se fondait sur des histoires, des visions et des perceptions que seuls les utilisateurs peuvent nous dire.

J’aime la fourchette parce que les photos me donnent envie.

J’aime le site UGC parce que les films qui tournent me donnent des idées

J’aime Netflix, c’est comme une librairie mais pour les films

J’aime le site vente privée parce que il est tout rose……

Une première vision conceptuelle de l’UX

Au démarrage nous avions décidé que notre UX serait fluide, simple et belle. Que ceux qui voudraient autre chose lèvent la main !!! Nous cherchons tous la même chose et comme à chaque fois, c’est dans l’exécution que se cache le diable et l’échec !

Une pratique radicale rapide et sans appel de l’UX dans la vraie vie

Alors nous avons changé de méthode. 

D’abord acquérir une connaissance approfondie des possibilités du progiciel. Des experts renommés l’ont construit et l‘enrichissent en permanence, alors évitons de réinventer l’eau tiède.

Ensuite, choisir des experts qui acceptent d’intégrer cette contrainte du respect du standard pour inventer avec nous.

Enfin définir d’abord de façon approfondie notre plateforme de marque et notre ligne éditoriale.

Et alors, l’UX se dégage, unique, essentielle et représentation d’une vision globale.

 

Maintenant un passage de la théorie à la pratique de l’UX qui est semé d’embuches.

Durant les ateliers d’idéation rester toujours collé aux principes définis, repartir du Why de Lily facilite la vie encore et toujours, à chaque arbitrage, à chaque décision en respectant ces garde-fous que nous avons construits.

 

 

Et enfin, croisons les doigts pour que nos testeuses préférées aiment !!!

 

 

 

Une idée sans exécution est un songe –

Duc de Saint Simon